J’extrait le sexe de ma bouche lentement en serrant mes lèvres et en aspirant bien, m’arrête à son gland que j’entoure de ma langue demandeuse de sperme. Je lui léchais les couilles puis ma langue remonta de ses boules jusqu’à son trou, effectuant de longs va-et-vient sur sa raie imberbe puis s’attardant sur le contour de son petit trou rose de puceau encore jamais léché. La vérité, c'est que lorsque mes mains ont touché les couilles de mon beau-fils, je n'ai pas pu m'en empêcher, je voulais lui baisser son pantalon et m'agenouiller devant lui. Jusqu’à ce qu’il en rencontre une qui lui coupe l’envie de voir ailleurs. « Je payais une heure et ça durait deux, trois heures, parce qu’on se collait, on jasait, etc.