Le lendemain, Bruno, revenant de son jogging en bermuda et en t-shirt, retrouva sa tante assise dans la cuisine, sirotant un verre de bon vin. On prit place dans les meubles de jardin et on commença le petit-déjeuner. De loin, je vis Jeanne qui était en train denlever son paréo avant daller dans leau. Je me débrouille bien dans le noir. Je la suivis du regard, son corps était beau et elle ne faisait pas ses 52 ans, pas de bourrelet sur les hanches, peu de cellulite, une poitrine encore bien agréable à voir, même si elle avait du être encore mieux, il y a quelques années; quimporte, elle me plaisait telle qu’elle était et je la désirais.