J’oppose un « Chut » à chaque « Juliette » prononcée, tandis que je me lance à l’assaut de son corps. Son visage sous mes lèvres, ses épaules que je caresse, ou effleure de ma bouche. Puis ses seins, dont je suce doucement les pointes, son ventre que je lèche ou embrasse… Ma bouche te prendra d’abord. Taime ça quand je te prends avec mes doigts? Mes lèvres sur les siennes. Je prends mon temps et explore sa peau alors qu’elle est prête à sombrer. Aucun, a priori. Sauf que quarante ans après les exploits buccaux de Linda Lovelace dans ledit film culte, la pipe est devenue « normale », à l’image de notre nouvelle présidence.
Vieux et jeunes lesbiennes aiment manger le cul et la chatte