Nana à gros seins suce une bite noire

Une étude récente réalisée par la célèbre université d’Harvard le suggère. C'est même tout le contraire car elle ouvre une brèche dans l'imaginaire androcentré du plaisir sexuel et par là, donnant une visibilité à la sexualité féminine, elle revisite la sexualité masculine au prisme des études féministes et interroge l'articulation des genres "avec les rapports de pouvoir et les hiérarchies". « Avant, je n’avais pas de pouvoir sur moi au plan de la sexualité. Si le plaisir provoqué par l’orgasme est intense, il "n’est jamais automatique et il n’est pas tout le temps au rendez-vous", explique Cécile. Marlène, 42 ans. Une bonne raison de ne pas entamer une quête de l’orgasme à tout prix : ce phénomène peut être contre-productif et à l’origine d’une pression qui nuit au plaisir.