Madeleine Pauliac, alors, plonge dans une semi-clandestinité : elle assiste aux accouchements, soigne les religieuses, les réconforte. Sur le terrain, c’est la cacophonie : habillée et ravitaillée par la 7e armée américaine, placée sous l’autorité du général Catroux, dépendante du bon vouloir de l’administration militaire soviétique, Madeleine Pauliac, comme ses consœurs, échappera de peu aux tentatives de viol de soldats russes imbibés de vodka. Quant aux religieuses polonaises, leur histoire va rester enfouie : désormais sous le joug stalinien, elles sont hautement indésirables. Non seulement ces femmes n’ont aucun recours sanitaire, aucune aide à espérer des Soviétiques, mais elles veulent éviter le scandale.
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