L'identité de la femme, présentée dès l'entrée du récit comme « pécheresse », pouvait faire attendre que l'exubérance du toucher verserait du côté de la séduction sensuelle et du péché, interprétation que murmure le pharisien : « Si cet homme était un prophète, il saurait qui est cette femme qui le touche et ce qu'elle est : une pécheresse. Le toucher n'est pas à interpréter métaphoriquement, mais comme lieu où l'expérience sensorielle, ambivalente ou indéterminée, passe à des relations bienfaisantes et salutaires. » Jésus fait pencher ce toucher débordant dans l'ordre de l'amour (agapè) par lequel advient le pardon. Le pardon advient dans l'espace retrouvé de ma liberté, signifiée ici par la passivité du Christ : en se laissant toucher, il délie.
Cette superbe jeune black se fait fourrer par son amoureux en forêt