162On prétend que si les d’ah’akât apparaissent en premier lieu, l’enfant restera faible durant trois ou quatre ans, et qu’il sera constamment exposé aux maladies. L’orge et la viande de dromadaire font sortir l’enfant même du fond d’un puits ! Le harîsa est obtenu à partir d’orge trempée et pilée, qui est ensuite bouillie dans de l’eau, avec de la rue, du fenugrec, du romarin, des câpres, de la viande de dromadaire et de la graisse. ’enfant la préparation liquide de harîsa. La mère mange la partie solide de la préparation, afin que celle-ci se répande dans son lait. 165À côté des remèdes mentionnés, la mère peut aussi enduire les gencives d’un jus provenant de retem (Retema duriaeiginista barbara) pilé et de semences de fenugrec.