Jean m’a rattrapé et m’a dit que je pouvais venir chez lui quand je voudrais avec ou sans Alain et même plutôt sans, comme il était seul et retraité donc très dispos il n’y avait aucun problème, il aimait ma bouche et mon cul. Et effectivement ça ne tarde pas, je l’entends respirer plus vite, un peu plus fort, sa queue gonfle un peu dans mon cul et son râle quand il largue son jus dans mon ventre avant de s’effondrer sur mon dos… Je suce bien son gland pour avaler les toutes dernières gouttes de sperme, je lèche soigneusement toute sa bite, puis il se relève, remonte son jogging qu’il n’avait même pas enlevé et me dit en ouvrant la porte : « Putain c’est vrai que t’es bonne toi !
Des lesbiennes vintage adorent ça blonde qui adore se faire défoncer