Le père blond ne savait pas que la soeur avait une si grosse poitrine

Ma tante, une fois la nouvelle de ma naissance propagée, avait demandé à un type traînant dans son bar habituel, de bien vouloir la conduire à la maternité distante de trente kilomètres, afin de voir le prodige qu’avait révélé ma naissance. — T’as bien de la chance, jacques. Jacques se décroche la mâchoire en entendant la phrase de Pierrot mais surtout en voyant la main posée sur ma cuisse. — Oui, Marie est très efficace au boulot et toujours courtoise avec les clients ! Je suis à quelques centimètres du magnifique sexe de ma maîtresse, je suis heureux, car vraiment cocu elle est remplie du sperme de son amant là où moi je n’ai plus le droit d’y déposer le mien.