Une ado se fourre un gode dans la chatte

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22 mai 2024, mercredi

Liveti trouve sa différence dans un point de vue unique, celui d’un auteur dont on retrouve l’amour du conte gothique dans les décors, la quête des angles de cinéma - ses plans étant toujours très élaborés et jamais laissés au hasard pour mieux signifier l’irréel, l’étrange -, et, évidemment, son amour pour la plastique féminine qu’il sublime par ses choix cohérents, celui d’une architecture du film par les corps. Ces deux projets consécutifs relèvent d’un même talent qui consiste à s’approcher le plus possible des canons d’un cinéma sophistiqué, où les scènes à caractère pornographique sont davantage de l’ordre de l’érotisme explicite que du gonzo masturbatoire.

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