Non seulement comme sujets, corps nus filmés sans pudeur artificielle ni glamour enjoliveur (des corps féminins notamment), mais avec le naturel de l’angle bien choisi, de la lumière bien travaillée, qui fait comprendre sans trop montrer, qui donne à voir l’excès sans dégoûter (à l’inverse par exemple d’À 14 ans, film récent qui filmait les mêmes soirées débridées avec une grande vulgarité). Si malgré son sujet racoleur Bang Gang n’a finalement rien de tel, c’est bien grâce à cette attention salutaire que porte Eva Husson à ses personnages. La principale qualité du film tient dans ce regard habile de la réalisatrice, dont c’est le premier long, qui porte une attention égale et simple, jamais caricaturale, à ses quatre protagonistes et à leurs corps.
Meuf mariée trahit son mari avec un black et se fait enculer
Quand son amant africain est absent, elle le remplace par un énorme gode !
La copine de cette africaine lui bourrine le vagin avec un gode ceinture
La mère française Angelique Luka jouit de la bite dure de son amant.