La première est celle de se présenter lui-même comme victime : il tombe malade, il est au chômage, il est seul, personne ne le comprend, il est très malheureux, il parle de son enfance difficile, les traumas de ses premières années. Mais le cinéma colonial présente aussi son opposé : des femmes hyper sexualisées, type danseuses orientales, femmes lascives, offertes au spectateur… S. T. : Cela vient de la culture populaire et notamment du cinéma colonial. Le sit-dessus, pour une bonne forte plonger dans sa chatte, la faisant gémir et crier jusqu’à ce que sa bouche de remplissage avec du lait. En tout cas, même politicarde, sans réelle perspective -aucun programme concret, aucune politique d’avenir n’a été présentée au public, ce qui agacera fort toute la presse nationale venue sur le terrain - la » konférans » fait parler d’elle dans toute l’île, de Saint-François à l’Anse Bertrand.