Dans ces conditions, il est difficile d’accorder une grande fiabilité aux différents questionnaires utilisés car trop grossiers pour représenter la complexité des plaisirs humains. Une fois les présentations faites, elle est déjà entrain de sucer ce gros sexe. En me regardant, elle m’a demandé de l’enculer. » Mis à part ces timides prospections, il semble bien, en référence à la clinique, que chacun préfère s’en tenir à ce que l’on connaît, au schéma masculin tension-décharge, au jouir ponctuel, à l’orgasme fini, bien précisé dans l’espace d’un corps et dans le temps d’un plaisir. De cette problématique, la femme - c’est du moins ce qu’elle dit et ce que les hommes pensent - a l’autre part, plus mystérieuse, tellement plus inquiétante que familière, celle que seuls des hommes avouant leur propre féminité osent questionner : « Dis-moi comment c’était, où étais-tu, là d’où j’ai bien cru que tu ne reviendrais pas ?