L’un d’eux, se mit bien en face de moi, et dans un râle grave mais discret, se libéra en éjaculant d’un jet puissant sur mon visage, je n’eu que le temps de fermer les yeux, j’étais frappée par un deuxième, au-dessus de mon nez, un jet épais et chaud se répandant sur ma joue, alors que le premier commençait à ruisseler sur mes lèvres. Sa main posée sur la base de mon pénis le branlait à un rythme régulier par rapport à ses succions. Je sentais sa langue tapoter régulièrement sur mon frein puis rouler tout autour du gland comme une tornade. D’accord, répondais-je alors que je venais de remarque une autre cabine déverrouillée à quelques mètres. Je suis une belle femme ronde de 45 ans.
Les mains attachées aux chevilles pour se faire péter l’anus
L'infirmière et le docteur baisent pendant leur garde à l'hôpital